Même village un peu plus tard. Des logements semi-collectifs bordés par un canal et sur une largeur d’un mètre de terre, autant de jardins de poche qui s’étirent : tomates, maïs, courgette, poivrons, piments…
La logique de subsistance des classes pauvres de la société chinoise prend ici une forme inattendue : une bande jardinée de presque un kilomètre.
Loin de Montreuil et de ses "Murs à pêches" moribonds, et si les vrais bobos vivaient ici ?
jeudi 2 juillet 2009
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