Marketing globalisé des villes et marché mondial de l’emplacement, les métropoles du monde entier se regardent, se jaugent et parfois se copient.
Olivier Mongin ajoute à l’idée commune de « la ville musée » celle du « musée des villes » : la définition d’un certain urbanisme globalisé, le réseau des métropoles et des aires urbaines.
Avions, trains à grande vitesse mais aussi photos, expos, congrès, les liens sont nombreux qui tissent aujourd’hui cette toile. Et si Hong Kong était définie par sa position dans ce réseau ?
Le portrait chinois de Hong Kong ?
New York pour la baie, le manhattanisme de gratte-ciels appliqué scrupuleusement, l’atmosphère anglo-saxonne exportée, le port et les taxis criards (même si ici ils sont rouges).
Marseille pour l’air marin, le génie du site, les autoroutes spectaculaires, l’éclectisme pourrissant et la proximité des calanques (qui sont ici des plages tropicales).
Hong Kong est deux fois une ville passionnante.
ÇA POURRAIT RESSEMBLER À QUOI UN MONDE DE CULTURISTES ?
Il y a 2 jours
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