A 800 mètres d’altitude et en montgolfière, le paysage n’a plus rien à voir. On s’éloigne de l’estampe chinoise, de l’aquarellage stylisée et cliché pour la cartographie et l’analyse en plan : même morcellement agricole minuscule et même développement anarchique organisé : un urbanisme de grappe parti à la rencontre d’une mosaïque maraîchère et rizicole.
Une fois disséqué le paysage icône peut alors se lire en métaphore hallucinée d’une ville icône. De Yangshuo à Shanghai : rizière contre quartiers de lilongs, montagne contre viaducs autoroutiers et montgolfière à la hauteur des plus grandes tours de Pudong.
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